Dans son ouvrage Pop Théologie, Mark Alizart, né le 14 avril 1975 à Londres (pour Marie-Louise Arsenault), philosophe et «acteur de la vie culturelle française» (selon Wikipedia), procède à une lecture théologique de la culture pop dont il fait apparaître la dimension protestante. À l’occasion d’une invitation à l’émission «Plus on et de fous, plus on lit» à la radio de Radio-Canada, je présente ici les quatre raisons qui font de Céline Dion, née le 30 mars 1968 à Charlemagne, une chanteuse protestante (pages 165-166):
- La musique pop, sa musique, descend en droite ligne du gospel, un genre musical inventé par les esclaves protestants noirs au 19ème siècle.
- «De Georges Michael à Stevie Wonder, en passant par Ray Charles», les mots sont empruntés à la liturgie: Faith, Love, Heart.
- «La célébrité est toujours, paradoxalement, corrélée à l’authenticité (“rester soi-même” semble être le secret de la réussite de toutes les stars)».
- Les titres des chansons de Céline Dion évoquent aussi bien les «chants d’église» que les «bluettes pour adolescents»: „My heart will go on“, „Love Can Move Mountains”, „Halfway To Heaven”, „I’m Alive”, etc.
À suivre!
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