Si vous êtes un théologien un peu déprimé, je vous recommande la course à pied. Outre les bienfaits physiques, psychiques et, j’ose le mot, spirituels, que vous en retirerez, vous pouvez côtoyer des gens convaincus de l’intérêt de l’Église: comme un publicitaire qui s’en inspire pour créer des communautés autour d’un récit; comme une gestionnaire de capital risque qu’elle fascine parce qu’elle investit dans les valeurs spirituelles plutôt que matérielles.