Superbe formule du journaliste sportif Jean Dion (qui est aussi philosophe et même, au moins dans ce cas, théologien. Mais non! Mais si, Messi, Messie!) dans le quotidien québécois Le Devoir:
« En général, l’humanité réprouve les verdicts nuls parce qu’elle n’apprécie pas les zones de gris, mais le match nul est là pour rappeler à tout un chacun que la vie n’est pas ainsi faite, qu’il est parfaitement possible d’avoir passé les deux dernières heures à tenter quelque chose qui n’a finalement rien donné. »