La Gare de Lyon à Paris propose une exposition sur les Luttes féministes au XXe siècle (voir le site de l’exposition). Le théologien du quotidien y a lu cette citation de Gisèle Halimi, militante féministe, entre autre causes (lire sa biographie sur le site du magazine Elle).
Si elle a raison quant à la condition des femmes — théologiquement, être femme n’est pas un péché qui nécessite un pardon —, elle a tort sur le plan théologique. Car il n’est pas juste d’attribuer à Dieu ce qui relève de la responsabilité des hommes.
Pour sa part, le théologien du quotidien écrirait plutôt: «Le rôle que les hommes nous attribuaient et qu’ils justifiaient au nom de Dieu…» Ce serait un peu plus long, mais ce serait beaucoup plus juste. Et ce serait infiniment plus prudent!
Le théologien du quotidien essaye d’éviter d’utiliser Dieu pour justifier ses propres opinions. Et il vous conseille d’en faire autant…