À l’occasion de la publication du collectif Esprit du vin, esprit divin (Bauer, O. [éd.]. Esprit du vin, esprit divin. Labor et Fides : 2020), je me permets de méditer sur un jeu de mots. Une fois en positif et une fois en négatif (lire donc aussi en positif « Tu invoqueras le nom du Seigneur ton Dieu en vin »).
- Parce que l’ivresse conduit Noé à se montrer nu (Genèse 9, 21).
- Parce que les prêtres n’ont pas le droit de boire du vin (Lévitique 10,9).
- Parce que le vin est le « poison des dragons » et le « venin cruel des vipères » (Deutéronome 32,33).
- Parce que le vin empêche de devenir sage et riche (Proverbes 20,1 et 21,17)
- Parce qu’il « n’y a pas de secret là où règne l’ivresse » (Proverbes 31).
- Parce que le vin empêche de discerner « l’action du SEIGNEUR » (Ésaïe 5,12).
- Parce que ceux qui sont « grisés par le vin » se fourvoient et « vacillent dans leurs décisions » (Ésaïe 28,7).
- Parce que le vin déçoit (Habacuc 2,5).
- Parce que « le vin et les femmes égarent l’homme intelligent » (Siracide 19,2).
- Parce qu’il est « beau de ne pas boire de vin » (Romains 14,21).