Une dernière réflexion pour conclure mes réflexions sur les animaux et l’Église (voir mes billets La solution à la crise des vocations, Tahïko, le chien diacre et Des chien·nes, des chat·tes, des abeilles, des oiseaux et des chrétien·nes).
En Europe occidentale, le refroidissement religieux fait de la chrétienne ou du chrétien une espèce menacée, peut-être même une espèce en voie d’extinction.