Le chien diacre qui œuvre chez les « réformés vaudois » (voir mes billets La solution à la crise des vocations et Tahïko, le chien diacre) me rappelle des métaphores animales qui me semble apporter du sens quand aux manières d’être chrétienne ou chrétien.
- Comme des chiennes et des chiens, certain·es chrétien·nes s’attachent à des personnes et suivent leur pasteur·e, leur prêtre ou leur diacre.
- Comme des chattes et des chats, certain·es chrétien·nes s’attachent à des lieux et reviennent toujours dans leur église ou leur temple.
- Comme des abeilles, certain·es chrétien·nes butinent de pasteur·es en prêtres, de temples en églises.
- Comme des oiseaux migrateurs, certain·es chrétien·nes réapparaissent à certaines saisons: Pâques (rarement) ou Noël (plus souvent).
- On pourrait allonger la liste et vos suggestions me feront plaisir.
Il n’y a ni bonne ni mauvaise façon d’être chrétien·ne. Aux Églises de trouver comment prendre soin des un·es et des autres.
Sur une autre métaphore animale pour désigner les « fidèles », on peut lire mon billet Un Bon Berger?