Une phrase lue dans le travail d’un étudiant a retenu mon attention:
« Theologically, our problems begin with Jesus. »
Elle m’a d’abord fait rire. Elle m’a ensuite fait réfléchir. Car il est vrai que « Jésus » (peu importe de qui ou de quoi il est précisément le nom) est un empêcheur de « théologiser » en rond. Faire de la théologie serait tellement plus confortable, tellement plus agréable si « Jésus » ne venait pas remettre en question toutes les hypothèses que nous sommes tentés d’ériger en vérités!